Vous ne m'avez pas fait de la peine. Je crois simplement et de manière sincère que vous vous trompez.
On est en présence d'un individu qui agit justement sur une base purement individualiste et qui se sert du pouvoir judiciaire pour écraser un mouvement collectif et social au complet, un mouvement historique de surcroît.
Mes dernières interventions visaient à interpeller les gens, à leur faire réaliser que ça ne peut plus continuer comme ça et que tout s'en va chez le diable, car on est pas capable d'agir collectivement.
Disons que je me permet de remettre en question votre approche. Quand je m'attaque à l'égoïsme et aux nombrils démesurés de certainnes personnes, je le fais au nom de la justice sociale. Vous me remettez en question sur ce point.
Des agissements comme ce monsieur renforce mon point de vue et je trouve qu'il met votre solution dans la dèche.
C'est aussi (un peu) parce que j'aime bien vous voir retontir ici et que ça fonctionne.
Maintenant, il faudrait m'expliquer en quoi quelqu'un qui (pour des raisons idéologiques d'appui à un gouvernement, fort probablement) a recours au système judiciaire et à la police (et donc a recours à l'appareil social répressif) pour faire avancer une cause qui est extérieure à lui-même (parce que, en bout de ligne, il va payer plus cher pour ses études s'il gagne) fait preuve d'individualisme.
Lorsqu'un individu a recours à un pouvoir supérieur et tutélaire pour contrer l'action d'un groupe avec qui il n'est pas d'accord, ce n'est pas de l'individualisme; c'est agir en faible, dans le sens nietzschéen du terme – c'est l'essence même de l'esprit de troupeau.
3 commentaires:
J'ai eu tort en effet d'écrire quelque chose qui ait pu vous faire de la peine personnellement.
Ceci étant dit, je ne vois pas très bien ce que ce quidam vient faire avec moi.
Vous ne m'avez pas fait de la peine. Je crois simplement et de manière sincère que vous vous trompez.
On est en présence d'un individu qui agit justement sur une base purement individualiste et qui se sert du pouvoir judiciaire pour écraser un mouvement collectif et social au complet, un mouvement historique de surcroît.
Mes dernières interventions visaient à interpeller les gens, à leur faire réaliser que ça ne peut plus continuer comme ça et que tout s'en va chez le diable, car on est pas capable d'agir collectivement.
Disons que je me permet de remettre en question votre approche. Quand je m'attaque à l'égoïsme et aux nombrils démesurés de certainnes personnes, je le fais au nom de la justice sociale. Vous me remettez en question sur ce point.
Des agissements comme ce monsieur renforce mon point de vue et je trouve qu'il met votre solution dans la dèche.
C'est aussi (un peu) parce que j'aime bien vous voir retontir ici et que ça fonctionne.
(Me voilà donc rassurée.)
Maintenant, il faudrait m'expliquer en quoi quelqu'un qui (pour des raisons idéologiques d'appui à un gouvernement, fort probablement) a recours au système judiciaire et à la police (et donc a recours à l'appareil social répressif) pour faire avancer une cause qui est extérieure à lui-même (parce que, en bout de ligne, il va payer plus cher pour ses études s'il gagne) fait preuve d'individualisme.
Lorsqu'un individu a recours à un pouvoir supérieur et tutélaire pour contrer l'action d'un groupe avec qui il n'est pas d'accord, ce n'est pas de l'individualisme; c'est agir en faible, dans le sens nietzschéen du terme – c'est l'essence même de l'esprit de troupeau.
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