jeudi 12 août 2010

Pourquoi ce blog est insignifiant

Parce qu'il n'a pas encore été interdit.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Super!

Mouton Marron a dit…

T'en fais pas, ça devrait arriver un jour!

Anonyme a dit…

Mais non, ça va arriver au mien avant! Les blogueurs étatistes du Québec sont en cavale pour ça! ;)

Après ça, ce sera Anne Archet, les fémi-favoritistes et les catho-fascistes vont s'unir pour bannir du net cet excès de perversion sexuelle! ;)

Noisette Sociale a dit…

J'aime! :)

Anonyme a dit…

Et puis, comment ça va Noisette? Renart, Hérétik, Lutopium, Darwin et autres sont-ils fiers de toi?

Anonyme a dit…

Ben voyons. Chaque fois qu'on interdit quelque chose, ça devient un hit. La meilleure stratégie pour étouffer l'expression de la dissidence, c'est de la noyer dans des flots infinis de paroles creuses et de vidéos de chats qui tombent dans la cuvette des chiottes.

Merci, internet!

Bakouchaïev a dit…

@ annearchet : En effet, bien qu'il y a l'exemple de «Noir Canada
Pillage, corruption et criminalité en Afrique», qu'on voulait interdire de publication. Je l'ai acheté principalement pour cette raison (et il coûte cher!), c'est donc dire que certains n'ont pas compris (mais renforce en même temps l'idée que ça devient un hit).

Sinon, en dehors de noyer ça dans une mer d'insignifiance (un but recherché, il est vrai), il y aussi la stratégie de récuper les oeuvres en question et faire du $. Donc on fait des t-shirts de l'anarchie, des émissions de téléréalité qui s'appellent Big Brother ou des films comme Fight Club.

J'adore Fight Club, mais si on ne perçoit pas de paradoxe à entendre Brad Pitt nous parler de la société de consommation, que nous ne sommes pas notre compte en banque, etc., et bien on est mêlé.

Et puis que je sache, il n'y a pas eu de vagues de fights clubs un peu partout en Amérique ou ailleurs dans le monde.

Au final, ce qui dérange le plus, ce ne sont pas les paroles, mais les actes.

On a beaucoup de chemin à faire à ce chapitre, moi compris.

Anonyme a dit…

J'ai répondu chez moi. Je ne crois pas que tu es un émule de Houellebecq.