samedi 29 décembre 2012

mardi 18 décembre 2012

Se mettre la tête dans le sable?

Le choix des lâches. Le monde a besoin de courage en ce moment. De courage et de vérité. Leur système s'effondrera le jour où leurs mensonges seront clairement exposés au grand jour.

samedi 15 décembre 2012

mercredi 5 décembre 2012

En attente d'un héros ou d'une héroïne?

Mieux vaut en devenir un ou une. Car les conditions extrêmes auxquelles nous faisons face demandent une réponse extrême.

samedi 24 novembre 2012

mercredi 21 novembre 2012

samedi 10 novembre 2012

Et la lumière fût

“For there is nothing covered that will not be revealed, neither hidden that will not be made known and come into the open.” Luke 8:17

Je parle de la corruption qui est étalée au grand jour, mais pas que. Vous avez peut-être manqué ça, mais il y a un scandale sur des cas de pédophilie qui a éclaté au grand jour en Angleterre. C'est beaucoup plus profond qu'un seul individu et l'élite est impliquée là-dedans jusqu'au cou, ce qui n'est pas sans rappeler nos histoires de corruption et de collusion. J'en avais déjà parlé et ça se confirme.

Je ne pense pas que je verrai un jour un monde où l'autogestion généralisée sera notre manière de vivre ensemble, mais je sais plus que jamais que j'ai raison. Dans ma solitude, dans mon coin avec ma vision des choses, j'ai raison.

Dites que c'est élitiste, chauvin et tout et tout. Le nombre de fois que vous m'avez fait sentir comme un moins qu'un rien. À peine un tas de marde sur le bord du chemin. Et bien vous pouvez bien dire aujourd'hui que je ne me prends pas pour de la marde. Parce que je ne suis pas de la marde. Désolé de vous décevoir.

Je ne vous laisserai plus jamais me rabaisser. Jamais.

mardi 6 novembre 2012

lundi 29 octobre 2012

La guerre civile

C'est plus compliqué que le Bien contre le Mal, mais il y a ceux et celles qui sont au pouvoir ( les hommes étant plus nombreux) puis ceux et celles qui se battent pour dissoudre toute forme de domination (une mince minorité aspire à cet idéal). La justice n'existe pas sur cette Terre si personne ne se lève pour qu'elle puisse voir le jour. Il faut se battre.

C'est une guerre de tranchées. Et si ça se passe sur le terrain, ça commence dans la tête, mais surtout dans le coeur. Avoir des principes et s'y tenir de nos jours, c'est rare. Et c'est extrêmement difficile.
Mais ça vaut tellement la peine.

samedi 27 octobre 2012

La fuite?

Peut-être bien, mais pas sur Terre. Vous auriez pas une soucoupe dans votre cour arrière par hasard?

dimanche 14 octobre 2012

dimanche 7 octobre 2012

vendredi 5 octobre 2012

Je suis fier de ce que je suis

Je vous dérange et je vous emmerde parce que je ne lâche pas prise. Parce que mon combat est quotidien. J'emmerde non seulement le pouvoir, mais aussi tous ceux et toutes celles qui font en sorte que ce dernier subsiste. Je ne cesserai jamais et ce jusqu'au jour où je serai mort. La révolte, c'est la vie.

La grande majorité ne comprend pas, car elle se contente d'errer sans but, sans convictions, sans aucune passion.

Vous avez choisi l'état de zombies. J'ai choisi de me battre, j'ai choisi la vie.


mercredi 3 octobre 2012

vendredi 28 septembre 2012

samedi 22 septembre 2012

Je pense à toi

même si tu ne réponds pas.

dimanche 16 septembre 2012

Ce qui s'est passé ce jour là

Je n'aurai probablement jamais la réponse à cette question, du moins pas de mon vivant, mais ce jour là une force est intervenue. Je me fou un peu de l'opinion d'autrui sur cette question. Les gens prétendent tout savoir, mais savent peu de chose. Je sais que j'avais un plan de suicide, que personne n'était au courant et que si cette force n'était pas intervenue, je serais mort. Elle a senti la mort et elle avait raison. Mais elle ne pouvait pas savoir autrement et elle ne le savait pas non plus. Comme elle a ressentie la mort de ses proches avant que cela n'arrive, elle a senti que la mienne était également imminente. Mais ce n'est pas elle qui a deviné quoi que ce soit. C'est vous.

Je ne sais pas pourquoi, ni comment tout ça est arrivé, mais c'est arrivé. Et pourquoi avoir attendu que les dommages soient si profonds, là encore je n'en sais rien.

Vous auriez pu sauver quelqu'un d'autre, bien honnêtement.

Allez-vous regarder mourrir celle que j'aime sans rien faire?

vendredi 14 septembre 2012

Je n'ai confiance en personne

Mais je fais confiance à la musique. Les gens vous laissent tomber, mais la musique est toujours là. Ne cherchez pas de réconfort ailleurs, c'est une perte de temps.

samedi 8 septembre 2012

Pourquoi je ne cesse pas de lutter pour la révolution

Étant tourné vers leurs propres personnes, mes contemporains et mes contemporaines ne peuvent comprendre le sens de mon combat. C'est simple. Je suis altruiste. Je pense aux autres. Je veux vivre dans un monde meilleur. Tout ça m'amène à être révolutionnaire. On en fini par déduire que la révolution est nécessaire si on tient à la dignité de la vie humaine.

Le paradoxe est que les gens ne m'aiment pas et que c'est assez réciproque. Peut-être parce que je ne pense pas assez à moi et eux pensent trop à leurs propres personnes, ce qui fait un clash. Mais plus précisément, je pense que je suis plus sensible que quiconque m'entourent. L'insensibilité générale ne peut qu'entrer en contradiction avec ma propre sensibilité. D'où une incompréhension mutuelle et inévitable.

Mais je ne baisse pas les bras, car je sais que j'ai raison de poursuivre dans la voie du changement radical et vous avez tord d'abandonner ou de n'avoir jamais essayé.

mercredi 5 septembre 2012

jeudi 30 août 2012

L'État et la mafia

La Mafia n'est pas étrangère dans ce monde ; elle y est parfaitement chez elle, elle règne en fait comme le modèle de toutes les entreprises commerciales avancées." Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle, 1988

mercredi 22 août 2012

Critique anti-spectaculaire

La vie est moche et les imbéciles heureux la pourrissent par leur simple présence, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à en tirer. Disons que ça prend des efforts et une bonne dose de courage, ce qui nous manque grandement dans cette société du spectacle.

Je continue de penser que la seule manière de sortir une fois pour toute de ce système aliénant est en s'unissant à d'autres qui se battent eux et elles aussi pour la reprise du contrôle de leur vie au dépend d'une poignée de crapules au pouvoir depuis trop longtemps.

Cela dit, mes contemporains et mes contemporaines sont médiocres et ne partagent pas cette ambition. Même les anarchistes ont peur de se dire révolutionnaires et d'agir en conséquence. On croirait entendre le discours fataliste du PQ à propos des conditions gagnantes.

Nous sommes la solution aux problèmes que nous faisons face. Si vous êtes trop lâches pour agir, j'agirai sans vous, même si c'est du suicide.

La vie ne vaut pas la peine d'être vécue dans les conditions actuelles, c'est-à-dire enchaînéE de la tête aux pieds.

Seule la lutte, même désespérée, peut redonner à la vie toutes ses lettres de noblesses.

Tant qu'à vivre, aussi bien le faire pleinement.

lundi 13 août 2012

Québec suicidaire

Lendemain de grève from Hors-d'Øeuvre on Vimeo.

http://www.hors-doeuvre.org/objet/enquetes/lendemain-de-greve-texte

vendredi 20 juillet 2012

En attendant la révolution

On peut toujours écouter le «hit» de l'été, en espérant que la révolte n'aura pas complètement fondue pour le retour en classe.

vendredi 6 juillet 2012

Sur l'importance de l'éducation populaire

Ce n'est pas la première fois que j'aborde la question, mais étant sur le comité éducation populaire de mon assemblée de quartier, le sujet prend une toute autre saveur. J'espère que le mouvement de contestation actuel va se poursuivre et qu'il permettra aux différentes initiatives citoyennes de se perpétuer dans le temps. L'été et la paresse sont nos ennemis, mais je suis convaincu que la révolution sociale, politique et économique passent par l'éducation populaire. Il faut non seulement sortir le savoir des universités et remettre en question ces tours d'ivoires, mais il faut surtout partager nos connaissances respectives afin d'en arriver à un savoir commun. On doit échanger avec nos semblables et briser notre isolement une fois pour toute. Le plus important est que les gens apprennent à penser par eux-mêmes, qu'ils remettent en question l'autorité et qu'ils soient en mesure eux-mêmes de trouver les réponses à leurs questions. Cela peut sembler contradictoire, mais l'autonomie véritable passe par la collectivité.

Quelques ateliers intéressants seront donnés en fin de semaine au parc Molson (coin Iberville/Beaubien) et j'espère que la formule permettra d'avoir des échanges intéressants entre participants et participantes.

http://www.facebook.com/events/388119697888136/

Programmation : http://www.facebook.com/events/388119697888136/#!/notes/vincent-dostaler/occupons-montr%C3%A9al-au-coeur-de-l%C3%AEle-6-au-9-juillet/10150988523888241

jeudi 21 juin 2012

Je ne suis pas Québécois

J'aime beaucoup trop la liberté pour ça.

mardi 19 juin 2012

Un esprit sain dans un corps sain

Plus facile de le formuler que de le réaliser.

mercredi 23 mai 2012

D'une beauté sans nom

Me rappelle mon passage dans cette ville magique (du moins dans la tête d'un jeune de onze ans). Peut-être mon vidéo favori depuis le début de cette grève. De voir qu'on traverse les frontières comme ça, ça me fait chaud au coeur. Merci aux gens de la ville de New York. Je suis fier de faire partie de ce mouvement, comme je suis fier d'avoir fait partie de 2005 et de me battre au sein du mouvement étudiant depuis 2003 (et oui...). J'ai galéré dans la vie, mais ça me permet aussi de me retrouver au coeur de cette lutte. Battons-nous pour plus que le statu quo. Battons-nous pour un véritable changement. L'État est mort. Vive la liberté!

jeudi 17 mai 2012

La honte

Ce qui restait de la liberté au Québec est mort et enterré.

samedi 12 mai 2012

L'hystérie et la collaboration

Vous me découragez..... «Oh que je nous ai trouvés minables, hier matin. Un petit contretemps matinal pour plonger Montréal en névrose… C’est que de dangereux terroristes menaçaient la sécurité publique! Arrêtez-les quelqu’un pendant que je reprends mon souffle dans un petit sac brun, je vous en conjure! Les gens, vous êtes cinglés. Hier matin, le métro est tombé en panne. Il y a même eu de la fumée dans les quenoeils de quelques amis. Hon. Le brushing de Monique a été ruiné par la bruine pendant l’insupportable attente d’une navette spéciale à l’extérieur. Jacques est arrivé en retard à son rendez-vous et Marie-Jeanne a loupé la première heure de son yoga. Et que dire de Josée qui a déposé la petite Malynka-Rose [archétype de prénom fucké attribué par un early-Y à son kid] plus d’une heure et quarante-cinq minutes en retard à la garderie? Elle en a manqué la collation du matin! C’est inadmissible de priver Malynka-Rose de ses Fruit Loops dans l’yogourt de dix heures et quart, osti de gang de perturbateurs de l’ordre public du câlice! Ça c’était ma reconstitution dramatique de la scène « Névrose d’un 10 mai à Montréal». Bref. Les gens, hier, je vous ai trouvés ridicules. Et en prime, un joli cirque de rabâchage médiatique pour être bien certain de conditionner dans la populace un sentiment de menace et d’angoisse. Bravo, pour la self-made terreur. Beau set up. S’ils avaient besoin de drame et de torpeur, encore les grands réseaux auraient-ils pu s’employer à couvrir davantage (et mieux) les événements en Syrie, tiens. Mais étant donné que médiocrité a force de loi ici-bas, et que notre nombrilisme n’a d’égal que notre ignorance, on préfère s’inventer des psychodrames de bas étage sur les dos des étudiants militants. Parce que c’est dans l’air du temps. De la masturbation collective alimentée par les frasques des miiiiiichants étudiants « radicaux ». Mais il n’y a pas que ça. Le cirque du métro aura été « la goutte ». Notre « politisation inopinée et merveilleuse » dont j’avais la profonde certitude il y a quelques semaines se mute tranquillement en amertume. J’en veux à cette majorité qui embrasse toujours et encore le niveau premier de l’argumentaire, et masque les failles de sa compréhension des enjeux avec des bons sentiments. Pour s’en apercevoir, il aura fallu la radicalisation du mouvement. Oh que vous avez été nombreux à décrocher, là, ein? C’était facile de se battre en paradant et en lançant des fleurs. On faisait des peace avec nos doigts et on attendait candidement une offre miraculeuse… C’était facile de soutenir la cause, aussi, ein? Ça paraissait bien en plus. C’était une ben, ben belle preuve de conscience sociale de jeune travailleur de porter le carré rouge. Mais maintenant qu’il faut en venir aux poings et à la désobéissance civile véritable pour piquer le gouvernement, c’est moins drôle, ein? Maintenant qu’il y a eu des crânes brisés et des dents fracassées, on prend peur? Et vous vous sentez gauche et veule quand vient le temps de justifier les coups portés? Woups, les convictions s’ébranlent, d’un coup… Alors on condamne! Oh oui! Vite, vite, vite, vite, on la condamne, cette damnée « violence » proférée par de « dangereux criminels organisés qui gangrènent les manifs! » Je ne déplore donc pas seulement l’idiotie des médias de masse et de ceux qui, d’emblée, font de « l’estudiantophobie » un hobby ou un exutoire. J’en ai autant après les sympathisants à la cause étudiante qui « militent » tout en baignant dans une bien-pensance grotesque et anesthésiante. La confrontation et l’escalade de la tension sont intrinsèques à la lutte, si on en comprend bien le sens. Plus le mur résiste à la grogne, plus il faut le marteler puissamment. C’est un principe assez simple, il me semble! Eh non, les amis. La « violence » ne résulte pas de l’intervention inescomptée et malheureuse de groupes militants extérieurs au conflit. Ce ne sont pas des voyous anarchistes qui profitent de la cause pour piller tout leur saoul. Ça vous fend peut-être la gueule de l’admettre, mais c’est bien la souche militante étudiante qui en est venue à l’évidence : frapper. Or, si l’ardeur et les convictions de certains ne résistent pas à l’escalade normale et inévitable de la grogne, c’est qu’il leur faudra prendre leurs distances. Soit, j’en serai sûrement. Mais n’ayez pas la prétention de croire que votre conception institutionnalisée et servile de la « lutte » est la bonne. Si tel est le cas, oubliez le carré rouge et retournez lire un peu sur la réelle définition de l’anarchisme avant de le confondre avec le « chaos », parce qu’il y a une crisse de différence. Et pour ceux qui auront poussé les hauts-cris en traitant les responsables de l’incident du métro de « terroristes », je paraphraserai ici sans vergogne un tweet qu’il m’a été donnée d’apercevoir : Un peu de respect pour ceux qui ont eu de vrais attentats terroristes dans le métro! Londres juillet 2005 = 56 morts, 700 blessés. *** Aussi, j’ai pris un malin plaisir à voir des gens publier des tirades « anti violence » mielleuses et émotives sur Facebook. Leurs auteurs étaient également pour la plupart « d’ardents défenseurs de la démocratie directe ». Évidemment, le droit à la diversité des tactiques et la liberté absolue de l’individu au sein du groupe, ainsi que l’absence du droit à la coercition entre les pairs, ça, ça ne les a pas interpellés une seconde! Mais encore. Il ne faudrait pas trop leur en vouloir. C’est leur ignorance qu’il faut blâmer, pas eux. Les pauvres. Tout ça pour dire que je crierai « victoire! » le jour où les gens auront l’humilité de réfléchir pour la peine». http://urbania.ca/blog/3008/votre-bien-pensance-aura-raison-de-nous

lundi 7 mai 2012

Que de courage....

Peu importe l'issue de la grève et c'est loin d'être fini, les étudiants et les étudiantes du Québec sont des héros et des héroïnes. Ne mâchons pas nos mots. Alors qu'ils et elles sont traînéEs dans la boue sur la place publique et font face aux vents et marées depuis des mois, ils et elles se tiennent toujours debout. Je ne sais plus quoi dire. Bravo...

dimanche 22 avril 2012

L'histoire de ma vie

La lutte est sans espoir quand l'amour ne répond pas à l'appel.

samedi 21 avril 2012

Résistons

La neutralité n'est plus une option.

dimanche 15 avril 2012

Le mépris a assez duré



Le gouvernement est le principal responsable des troubles à venir. Ce n'est pas une menace, mais un simple constat qui découle de l'analyse de la situation. En refusant des réformes, il ne reste plus que la révolution sociale, politique et économique.

vendredi 13 avril 2012

mardi 3 avril 2012

jeudi 29 mars 2012

Vous rendez la vie moins laide

Quand ton entourage est assez limité et s'est trop souvent montré peu fiable, tu dois te tourner vers autre chose. Je me suis beaucoup tourné vers la musique. Je ne pourrais pas passer au travers autrement. Les gens ne me comprennent pas. Je ne comprends pas les gens. La musique a souvent été ma seule porte de sortie.

Je saignerai sur ma feuille...du moins je vais essayer de m'en tenir qu'à ça.

dimanche 25 mars 2012

Petit rappel historique

Il est bon de le faire dans une société dépourvue de mémoire collective, ou le terme «Je me souviens» ne renvoie à rien de bien précis.

mercredi 21 mars 2012

Société malade

Arrêtez de vous regarder le nombril et d'agir en sauvages. Ça suffis!



samedi 10 mars 2012

Le fascisme ne passera pas

Nous allons dans une direction inquiétante présentement en tant que société et nous devons réagir.


Le 15 mars, tenons-nous debout devant ces robots sans cervelles.





vendredi 2 mars 2012

Je ne tiens pas à être comme vous

Disons-nous le bien franchement, vous ne m'aimez pas. Vous ne m'avez jamais aimé. Pourquoi? Parce que je suis différent. Ça vous rend mal à l'aise. Vous voudriez que je sois plus comme vous. Je comprends cela.

Mais je dois vous faire une confidence : je ne vous aime pas non plus.

Pourquoi, vous dites?

Parce que vous êtes toutes et tous les mêmes.

Et avouez qu'il serait illogique de ma part de suivre le même chemin que vous, si je pense qu'en fin de compte, vous n'êtes pas des gens très recommandables.

Certes, il y a des exceptions, mais elles sont plutôt rares (pt un pléonasme ici, mais on s'en fou).




mercredi 29 février 2012

Les communistes ne sont pas vraiment communistes

Bien sûr, tout dépend de ce qu'on entend par être communiste. Et de nos jours, tout veut presque dire n'importe quoi, selon notre point de vue.

Mais si par communiste on se réfère à une volonté de vivre en commun et sur un pied d'égalité, une fois débarrassé de la propriété privée, les communistes ne sont pas communistes.

Les communistes sacrifient l'égalité sur l'hôtel de l'efficacité, tout comme notre société sacrifie la démocratie sur l'hôtel de cette même efficacité. C'est trop complexe semble-t-il d'atteindre nos objectifs et de vivre réellement selon nos principes, alors on va faire semblant qu'on a atteint notre but et qu'on sait de quoi on parle.

En faisant fit du principe de l'horizontalité, au nom d'une organisation efficace, les communistes rejettent également l'avènement d'une société égalitaire. On ne peut atteindre cette société égalitaire sans abolir les hiérarchies, dont les classes sociales ne forment qu'une partie.

Les communistes sont convaincus d'agir dans l'intérêt des prolétaires et ils ne leur viendraient jamais à l'idée que les prolétaires n'ont pas besoin d'eux pour être libres et s'émanciper. Pire, une fois au pouvoir, les communistes sont un obstacle à l'émancipation des prolétaires, au même titre que les bourgeois sont un obstacle à l'émancipation des prolétaires dans la société capitaliste.

La société idéale que décrive les communistes ne peut être atteinte que dans une perspective anarchiste. La fin ressemblera toujours aux moyens qu'on a employé pour parvenir à cette fin.

Le désastre à la suite de 1917 était prévisible et puisqu'ils ne comprennent pas leur propre histoire, les communistes répéteraient le même scénario.

Vouloir saisir l'État et le pouvoir au lieu de le détruire, c'est refuser de mettre un terme au rapport dominant-dominé, rapport historique au sein de sociétés inégalitaires. Les communistes en ont contre le système de domination actuelle, uniquement parce qu'ils préféreraient instaurer leur propre système de domination. Bien sûr, tout ça au nom de la liberté et de l'égalité. Les tyrans se présentent toujours comme des bienfaiteurs.

Mais tant qu'on persiste à vouloir prendre le pouvoir, on ne peut arriver à une telle analyse. On ne peut pas comprendre l'Histoire ou faire une analyse politique pertinente de la société actuelle. On est forcé de masquer nos propres intérêts.

"All animals are equal, but some animals are more equal than others" Orwell



jeudi 23 février 2012

Merci Brassens







Et une pour se faire pardonner :

mardi 7 février 2012

Après des mois

J'arrive enfin à ne plus penser à toi.

En espérant juste ne plus jamais tomber dans le panneau. Je passe mon tour. Bonne vie.









dimanche 5 février 2012

Et si on cessait de les laisser tomber?

Si l'entourage des personnes suicidaires était moins à chier, les lignes d'écoute n'existeraient pas.

Je veux bien croire qu'on préfère les personnes pleinement épanouies qui respirent le bonheur et qu'on fuit les gens qui voient tout en noir, mais alors les pleures et le scandale public autour du suicide n'a pas lieu d'être et n'est qu'une orgie d'hypocrisie.

vendredi 3 février 2012

21 décembre 2012



La date au fond n'a pas d'importance. Nous finirons par perdre ce que nous ne méritons pas.

dimanche 29 janvier 2012

Et ça continue



Heureux de constater que tu avais commenté le même vidéo (celui du haut) la première fois que je l'avais mis ici. Chacun à ses raisons de sourire noir je suppose.



mercredi 25 janvier 2012

dimanche 15 janvier 2012

Se conformer ou payer le prix

Ce n'est pas parce que la grande majorité de la population a pris la direction x qu'on ne peut pas choisir la direction y entant qu'individu, si on est convaincu qu'un mur se trouve au bout du chemin x et que de toute façon, cette autre route nous fait carrément gerber.

J'aime mieux me faire traiter comme un moins que rien par des imbéciles et des lâches que de suivre le troupeau.

J'ai toujours préféré l'air frais et l'espace. Je préfère être seul que d'être dans le tord.

Le changement ne vient jamais du confort du troupeau.