jeudi 27 novembre 2008

Déception, dilemne, philosophie, injustice et dégoût

Je déroge totalement. Je suis comme un politicien, un vrai. Je promets une chose un jour, j'en dis une autre le lendemain. J'avais effectivement affirmé dans mes messages précédents que je ne parlerais pas de ma vie sentimentale, inexistante de toute façon. D'une manière, cette affirmation tient toujours. Mais, malheureusement, à défaut d'avoir une vie sentimentale, j'ai des sentiments. Sentiments sans cesse bafoués, qui ne servent qu'à me torturer, à me tourmenter et à me faire du mal.

J'éprouve un sentiment d'injustice. Oui, il y a la guerre, la famine, la pauvreté, les génocides, les orphelins, les enfants malades, les femmes battues, les sans-logis, les éclopés et j'en passe. Mais voilà, je suis moi aussi, à ma façon, exclu de la société et victime d'injustice.

J'aimerais demander réparation. J'aimerais obtenir vengeance et que justice soit faite.

Hors je suis seul, vulnérable et inoffensif. Toute cette colère ne s'exprime pas, ne fait que me consumer....

Je plains le temps des nihilistes. Non, je prône leur retour. Qu'ils et elles sortent de leurs tanières au grand jour qu'on en finisse avec cette société branlante. Enlevons les gants blancs et salissons nous.

Le lien entre le nihilisme et l'Échec sentimental?

On ne saurait l'être autrement et ce dernier nous y amène forcément, avec l'usure.

À venir, la théorie du château de cartes.....

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